Gepubliceerd op maandag 28 augustus 2006
IEF 2534
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tpw.GIFHvJ EG, 1 juni, zaak C-324/05 P. Plus Warenhandelsgesellschaft tegen OHIM

Gemeinschaftsmarke, Anmeldung einer Wortbildmarke mit dem Wortelement ‚Turkish Power, Widerspruch der Inhaberin der Wortmarke POWER, Zurückweisung des Widerspruchs, Offensichtlich unzulässiges oder offensichtlich unbegründetes Rechtsmittel“

Hierzu ist daran zu erinnern, dass der Inhaber einer Marke, bei der es sich auch um eine nationale Marke handeln kann, die mit den Waren und Dienstleistungen, für die seine eigene Marke eingetragen ist, identisch sind, Widerspruch erheben kann, wenn die angemeldete Marke mit der älteren Marke identisch ist oder wenn wegen der Ähnlichkeit zwischen den beiden Marken Verwechslungsgefahr besteht.

Sind die beiden Marken jedoch nicht identisch oder besteht trotz ihrer etwaigen Ähnlichkeit beim Publikum keine Verwechslungsgefahr, so kann der Inhaber der älteren Marke der Eintragung der Anmeldemarke nicht widersprechen.

Entgegen dem Vorbringen der Klägerin gewährt das Markenrecht dem Inhaber einer eingetragenen Marke daher kein Monopol für sämtliche Kombinationen seiner Marke mit anderen Wort- oder Bildelementen.

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tm.bmpGvEA, 11 juli 2006, zaak T-247/03. Miguel Torres tegen OHIM.

Procédure d’opposition – Demande de marque communautaire figurative Torre Muga – Marques nationales et internationale verbales antérieures TORRES.

“Ensuite, dans la mesure où cet argument tendrait à faire valoir qu’un risque de confusion pourrait exister, par analogie, dans certains pays de l’Union, notamment les pays scandinaves, il convient de relever que, lorsque l’appréciation globale du risque de confusion selon les critères établis par la jurisprudence conduit à conclure à l’absence d’un tel risque, il ne suffit pas, pour renverser cette conclusion, de montrer l’existence de cas isolés de confusion par certains consommateurs.

Il ne saurait, en effet, être totalement exclu que des marques suffisamment différentes pour qu’un risque de confusion puisse, en règle générale, être écarté, ne fassent pas l’objet d’une confusion dans certains cas isolés. En l’espèce, si ce courrier électronique est susceptible de constituer un indice, celui-ci ne saurait, à lui seul, constituer un fondement suffisant pour reconnaître l’existence d’un risque de confusion et pour refuser, en conséquence, l’enregistrement de la marque demandée.”

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estr.GIFGvEA, 11 juli 2006, T-252/04. Caviar Anzali SAS tegen OHIM/ Novomarket SA.

Procédure d’opposition – Demande de marque communautaire figurative ASETRA - Marque nationale et internationale figurative antérieure CAVIAR ASTARA – Risque de confusion – Rejet de l’opposition pour défaut de production de documents dans les délais impartis.
partie défenderesse,

Il s’ensuit que, en omettant de prendre en considération les documents produits par la requérante devant elle dans le délai imparti par l’article 59 du règlement nº 40/94, la chambre de recours a manqué aux obligations qui lui incombent dans le cadre de l’examen du risque de confusion en vertu de l’article 8, paragraphe 1, sous b), dudit règlement et a violé l’article 74 dudit règlement .

(…) Il convient, par conséquent, d’annuler la décision attaquée, sans qu’il soit besoin de se prononcer sur les autres moyens.

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GvEA, 10 juli 2006, T-323/03. La Baronia de Turis tegen OHIM/ Baron Philippe de Rothschild SA, établie à Pauillac.

Procédure d’opposition – Demande de marque communautaire verbale LA BARONNIE – Marque nationale verbale antérieure BARONIA – Preuve de l’usage de la marque antérieure – Preuves produites pour la première fois devant la chambre de recours.

Par ailleurs, l’argument de l’OHMI selon lequel la procédure d’enregistrement des marques communautaires souffrirait d’une prolongation considérable si les parties pouvaient encore produire des éléments de fait ou des preuves pour la première fois devant la chambre de recours ne saurait prospérer. Au contraire, d’ailleurs, le fait d’avoir refusé d’accepter la traduction supplémentaire produite devant la chambre de recours a eu pour conséquence de prolonger cette procedure.

Il s’ensuit que, en omettant de prendre en considération les éléments produits par la requérante devant elle dans le délai imparti par l’article 59 du règlement nº 40/94, la chambre de recours a violé l’article 74 du règlement nº 40/94.

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GvEA, 26 juni, T-453/05. Vonage Holdings Corporation tegen OHIM.

It is true that in the cases mentioned by the applicant (paragraph 6 above) neither the Court of Justice nor the Court of First Instance objected to representation by a lawyer who was not an ‘advokat’, although the Court notes that in neither of those cases was the representation question expressly addressed.

(…) According to Article 43(1) of the Rules of Procedure, the original of every pleading must be signed by the party’s agent or lawyer. The applicant has not filed any document signed by a lawyer within the meaning of the fourth paragraph of Article 19 of the Statute. The submission of the certificates mentioned in paragraph 7 above and the assertion that the lawyers mentioned in those documents are willing to represent the applicant are not sufficient to comply with the requirement that an application must be signed by a lawyer within the meaning of Article 19 of the Statute. It follows that the present application must be dismissed as manifestly inadmissible, without its being necessary to serve it on the defend

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